08/13/2022 | Press release | Distributed by Public on 08/12/2022 23:25
Un matin de mai 1986, dans l'est de Paris, un homme au visage tacheté attrape Cécile Bloch, 11 ans, alors qu'elle part pour l'école. Il emmène la fillette dans les caves de sa résidence. Au 3e sous-sol, il la viole avec une extrême sauvagerie, avant de l'étrangler avec des ficelles. En s'enfuyant, il ne prend pas la peine de nettoyer le sperme répandu sur la vieille moquette.Pendant trente-cinq ans, son identité restera un mystère. Il écopera d'un surnom : « le Grêlé », à cause de la peau vérolée décrite par des témoins et qui apparaît sur les premiers portraits-robots. Ces derniers constituent le seul outil dont disposent les enquêteurs de la brigade criminelle de Paris pour l'identifier. à l'époque, les fichiers ne sont pas informatisés. De plus, seul le groupe sanguin du tueur (A +) peut être extrait des gouttes de sperme et de sang prélevées. La Crim parvient toutefois à rapprocher cette affaire de l'agression dont a été victime, un mois auparavant, la petite Sarah, 8 ans, séquestrée et violée dans les mêmes conditions. Cette dernière reconnaît son agresseur sur le portrait-robot.À LIRE AUSSI : Un tueur en série français : "Le Grêlé, c'est vraiment Dr Jekyll et Mr...